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  • Bullshitshore ® TM ©

    J’avoue que je m’y retrouve pas. On me parle d’offshore, de nearshore ®, de rightshore ® (variante : le rightsourcing ®), d’in-shore ®, de bestshore ® ou encore de secureshore ®. Vous connaissez le principe : déporter une activité ailleurs que là où vous avez l’habitude de l’exercer. Pour les puristes, d’après mon dictionnaire : off signifie « loin » et shore « rivage ». Bref l’informatique « loin du rivage ». Le rivage ? On connaît, c’est la DSI et ses quelques promontoires métiers, ou, pas très loin, l’épicier (pardon… la SSII) du coin. Mais je me pose depuis longtemps une réelle question métaphysique : à partir de quelle distance parle-t-on de ce-que-voulez-shore, par rapport à pas-de-shore-du-tout ?

    (Lire la suite dans le numéro 11 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)

  • Mes priorités prioritaires

    Comme tous les ans, un vénérable cabinet de conseil en stratégie (qui n’a rien à envier à celui que nous utilisons, en l’occurrence Meyer-Sainou-Lémeyer), publie la liste des priorités des DSI pour les douze prochains mois. L’une des premières préoccupations reste l’amélioration des process business, avec la sécurité. Domaines pour lesquels, paraît-il, il y a beaucoup de travail à faire pour les DSI. Mais à qui la faute ? Ce n’est quand même pas les DSI qui sont responsables de la non-adaptation des process, de l’indifférence des utilisateurs à l’égard de la sécurité et de la dérive des coûts dans toute l’entreprise !

    (Lire la suite dans le numéro 11 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)

  • Bravo l’artiste !

    Moi qui, de temps en temps, regarde les petites annonces et prends le temps de rendre visite à nos chers consultants en recrutement lorsqu’ils m’appellent, histoire de sonder le marché, je suis tombé sur une petite annonce fort instructive. Elle m’a confirmé dans mon opinion que si tous les DSI ne sont pas logés à la même enseigne, ils ont tous un rôle stratégique. Il s’agit d’une collectivité locale du centre de la France qui cherche son RSI (responsable des systèmes d’information). L’histoire ne dit pas s’il s’agit d’une création de poste (il serait temps, pour une agglomération de plusieurs milliers d’habitants) ou si le précédent a jeté l’éponge, ou trouvé mieux ailleurs. Ce responsable des systèmes d’information aura fort à faire et ne restera pas inoccupé. On espère qu’il n’a pas été nourri aux 35 heures…

    (Lire la suite dans le numéro 10 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)