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I have a (mauvais) dream

photo-H.jpgLe lieu était accueillant, avec des plantes vertes dans le hall d’entrée, et des chambres lumineuses. Ce n’est que lorsque je suis sorti dans le couloir que j’ai senti qu’il y avait quelque chose d’anormal. Plusieurs personnes erraient en robe de chambre, certaines en marmonnant, d’autres en faisant des grimaces, d’autres encore poussant quelques cris pour le moins inattendus. La première personne que j’ai croisée dans le couloir fortement éclairé par des néons, et qui me paraissait « normale», portait une blouse blanche. Moi qui était en costume cravate, je n’avais pas le profil pour me trouver à cet endroit.

-          Où suis-je ? demandai-je à celui qui m’a semblé être un médecin (il avait un stéthoscope autour du cou).

-          Dans un établissement spécialisé pour le traitement des pathologies mentales liées aux technologies de l’information. Vous êtes à l’étage des DSI.

-          Et qui sont ces gens ?

-          Des DSI, bien évidemment, et nous les isolons des autres patients. Certains sont très atteints…

Avisant l’un des patients, je demande au digne représentant de la science :

-          Et lui, de quoi est-il atteint ?

-          D’une névrose d’angoisse, le patient est en permanence sur le qui-vive, il est hyperémotif, et son existence est caractérisée par un sentiment d’appréhension et d’insécurité.

Encore un qui s’est a externalisé son système d’information, pensai-je... 

-          Et celui-ci ?

-          Névrose phobique, tranche-t-il. Il ne supporte pas les pensées floues ou les sentiments ambigus.

Encore un qui fait une fixation sur les référentiels, pensai-je…

(Lire la suite et la fin dans le numéro 53 de Best Practices Systèmes d'Information)

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