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  • Bi.Aïe

    Jebaie.jpg me doutais bien qu’ils allaient me refaire le coup. J’ai déjà été échaudé une fois, comme certainement beaucoup d’entre vous. Rappelez-vous : pendant la bulle Internet, les directions métiers, séduites par les sirènes des web agencies, ont voulu s’affranchir des DSI pour traiter directement avec les fournisseurs. On sait ce qu’il en est advenu, de cette stratégie : les DSI ont récupéré le bébé et ont été contraintes de s’en dépêtrer avec les moyens du bord. Pour le meilleur, quelquefois, et, surtout, pour le pire, dans beaucoup de cas. Comme les bricoleurs du dimanche font appel le lundi à un plombier professionnel ou à un maçon qualifié, les DSI ont été appelés (voire convoqués) à la rescousse. Pour reprendre le titre d’un ouvrage qui vient de paraître sur huit siècles de folies financières : « Cette fois, c’est différent », nous disent tous les « observateurs ». Différent ? Cette fois, comme la dernière fois, je n’en suis pas si persuadé et je vais vous expliquer pourquoi (...).

    (Lire la suite et la fin dans le numéro 55 de Best Practices Systèmes d'Information)

  • Les métiers improbables...

    etageres.jpgDépoussiéreur de solutions sur étagères. On le sait tous : l’inconvénient des étagères, c’est que la poussière s’y accumule. Et si des applications y sont entreposées, nos célèbres « applications sur étagères », cela fait désordre. Le dépoussiéreur a acquis une expérience chez des éditeurs de logiciels qu’il mettra au profit des DSI en éliminant les particules de poussière qui rendent les applications inefficaces avec le temps. Ce que les utilisateurs appellent « les applications poussiéreuses de la DSI » n’auront donc plus lieu d’être !

  • Les métiers improbables...

    percep.jpgPercepteur de satisfaction client. Dans le cadre des enquêtes de satisfaction auprès des utilisateurs du système d’information, certains d'entre eux rechignent à donner leur avis, prétextant qu’ils ne sont pas imposables à la qualité de service, qu’ils peuvent déduire plus de 10% d’incidents de leurs frais professionnel ou qui, réclamant le bénéfice du bouclier SI, exigent que la DSI leur rembourse un trop-perçu de services indûment facturés. Le percepteur de satisfaction client est là pour rappeler les utilisateurs à leur devoir citoyen : donner leur avis sur la qualité du système d’information et du travail des équipes de la DSI.

  • Les métiers improbables...

    indic.jpgIndicateur de non performance. Lorsqu’une direction générale n’a plus confiance dans son DSI, elle lui envoie, en douce, un indicateur de non performance dans son équipe. Comme pour les indics dans le milieu policier, l’indicateur de non performance est là, sous couverture, pour signaler les dysfonctionnements dans une DSI. C’est évidemment un poste à haut risque : s’il est démasqué, l’indicateur de non performance peut se retrouver au fond d’un lac de données, les deux pieds coulés dans une base de données relationnelle et ligoté avec du solide logiciel propriétaire.