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  • Les métiers improbables...

    leader.jpgLeader de pignon. Le DSI a une mission essentielle : convaincre les utilisateurs et les directions métiers des bienfaits de son action. Pas facile… D’où l’intérêt de recruter un leader de pignon, qui se place au croisement de deux couloirs, ou, s’il fait beau, contre le mur de la cantine, pour prêcher la bonne parole. L’effet positif est renforcé si le leader de pignon arrange les utilisateurs perchés sur un petit tabouret.

     

  • Les métiers improbables...

    epura.jpgÉpurateur de fausses données. D’un naturel sceptique, l’épurateur de fausses données doit intervenir au moins une fois par an. L’objectif est de ramoner les conduits de flux de données, ou d’aspirer les informations obsolètes qui prolifèrent dans les applications. Avec le temps, elles s’accumulent et produisent des mauvaises odeurs applicatives ; un jour ou l’autre, les utilisateurs sentent qu’il se passe quelque chose d’anormal. Cela n’empêche pas l’entretien régulier, avec quelques doses d’Eparcyl (Engin Pour Améliorer la Résistance des Cycles Logiciels).

  • Les métiers improbables...

    cata.jpgBalanceur de scorecard. Ce poste est plutôt destiné aux amateurs de jeux de cartes. Lorsque, dans un projet, il y a une incertitude sur le retour sur investissement, ou sur les indicateurs qu’il convient de retenir pour mesure la performance, le balanceur de scorecard a toujours la solution : c’est lui qui met sur la table le meilleur indicateur, le plus pertinent, qui correspond à la réalité du projet. Plus besoin de se creuser la tête, le balanceur de scorecard a réponse atout. Grâce à lui, le DSI peut dire « banco » sur un projet, sans inquiétude.

     

  • Les métiers improbables...

    vomi.jpgNettoyeur de service rendu. Souvent, la DSI qui n’intègre pas les besoins des utilisateurs du système d’information développe des applications qui ne correspondent pas aux spécifications. Ca arrive tous les jours. Mais les utilisateurs, face à des applications indigestes, ont tendance à les rejeter, y compris physiquement. La nausée débute souvent lorsque les utilisateurs ne parviennent pas à accomplir des taches simples. Ils ont un « haut-le-cœur-de-métier », ne sentent pas bien et finissent par vomir les équipes de la DSI et « leurs applications qui restent sur l’estomac ». Le nettoyeur de service rendu est chargé de faire place nette lorsque les utilisateurs sont victimes du syndrome du VOMI (Vraiment On M’agace à l’Informatique).