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  • Vends SOA ayant très peu servi

    C’est paraît-il ce qui formera l’épine dorsale de l’informatique du futur. Et même du présent si l’on en croit les discours des consultants et des fournisseurs. Qu’on en juge ! La SOA, sigle qui signifie Services Oriented Architecture, pour ceux qui ne l’ont pas deviné, ou architectures orientées services, pour ceux qui ne l’ont pas deviné et que l’anglais rebute, est présentée par un fournisseur comme « la plate-forme architecturale la plus homogène et globale pour gérer la transformation et l’optimisation des systèmes d’information. » Un autre nous explique que « plus qu’un ensemble de produits, la SOA est un moyen d’assurer la gouvernance sur l’ensemble du cycle de vie des applications. » Et un troisième en rajoute une couche…

    (lire la suite dans le numéro 6 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)

  • Tout ce que vous direz sera retenu contre vous

    Pour choisir une techno ou un fournisseur, rien de tel que de se fier à des témoignages d’autres DSI qui ont déjà sélectionné les mêmes prestataires et mis en œuvre les technologies qui vous séduisent, nous explique-t-on. J’ai répondu favorablement à la sollicitation de l’un de mes fournisseurs, un éditeur de logiciels qui me casse les pieds depuis des mois pour que je l’autorise à publier, dans l’un de ses communiqués de presse, mon avis sur son produit. Pourquoi pas… Après tout, sa solution, que l’on a installée l’an dernier à la direction des ressources humaines pour faciliter le reporting, n’a rien de révolutionnaire mais elle a le mérite de fonctionner correctement, de ne pas coûter trop cher en frais de maintenance et ne pas être atteinte de la maladie congénitale de la version folle, équivalent de la vache folle dans le monde animal. Celle-ci se manifeste par des tremblements intempestifs du logiciel (une série de bogues et de dégradations de performances) qui oblige à administrer un remède de cheval…

    (lire la suite dans le numéro 5 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)