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  • Marge arrières toutes

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    Face à la pléthore de fournisseurs, comment faire le bon choix ? Sachant, bien sûr, qu'il est hors de question de prendre des risques et de voir débarquer dans l'entreprise des consultants ou des produits qui ne tiennent pas la route. Il paraît qu'il y en a sur le marché... L'idéal ? Des solutions logicielles robustes, des consultants compétents et pas trop chers pour les mettre en oeuvre : voilà ce dont nous avons besoin. ça, c'est la théorie. Pour la pratique, il faut se débrouiller comme on peut. Pour atteindre cet objectif, il y a plusieurs manières de procéder...

    (Lire la suite dans le numéro 28 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)

     

     

  • R.A.S. sur le R.O.S.

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    Ce jour-là, l'ambiance est plutôt glaciale dans la salle du comité de direction. L'heure est grave. Toutes les directions métiers passent sur le grill de l'incontournable retour sur investissement. Pierre-Henri Sapert-Bocoup et le DAF, son allié objectif (quoique...) se sont mis en tête de mettre des chiffres derrière, devant, au-dessus et au-dessous de chaque projet. Gare à celui dont le bilan prévisionnel s'avèrerait négatif ! Le tout est emballé dans un joli nom de programme : PET pour « Programme d'Excellence Transversale », complété, en ce qui concerne la DSI, par le programme ROT (Return On Technology). Tout cela a été concocté dans le plus grand secret par notre directeur financier, qui a passé deux semaines en séminaire aux États-Unis, invité par le cabinet Gare-à-tes-nerfs.

    (Lire la suite dans le numéro 27 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)

     

     

     

     

  • DSI naturiste

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    Je suis tombé par hasard, en surfant sur le Web, sur l'organigramme complet de la DSI d'une grande organisation publique. Certes, cela n'a guère d'intérêt, sauf pour quelques margoulins du marketing direct qui peuvent se ruer sur des centaines de noms (Hé oui, ils sont nombreux à la DSI, dirigée par un membre éminent du Cigref). Il n'empêche. Même si ce document fort instructif sur l'organisation de la DSI a été placé sur le Web par une organisation syndicale, soucieuse d'informer du « qui fait quoi » dans l'entreprise, on ne peut s'empêcher d'être inquiet sur ce genre de pratique. D'abord, parce que ceux qui sont cités, avec leur poste et leur e-mails (faciles à reconstituer) ne sont pas informés que leur identité est en accès libre sur Internet (Hé ? Les cabinets de recrutement, vous pouvez y aller, il y a des bons profils dans le lot...). Ensuite parce que les fournisseurs, du moins les plus malins d'entre eux, auront beau jeu de repérer les bonnes cartes à jouer pour identifier les points d'entrée. Enfin, parce que si tout le monde s'y met, les DSI vont se retrouver à nu sur Internet et, cela, n'est pas envisageable : on va ainsi voir que tel DSI a une bonne dizaine d'adjoints de sorte qu'il ne travaille plus guère ? Que tel autre a créé un service qui ne sert à rien sauf à recaser ses protégés en attente de retraite ou de départ « pour poursuivre des projets personnels » ? Qu'un autre s'est attribué un titre ronflant pour épater la galerie ? Ce ne sont que des hypothèses, bien sûr, cela n'existe pas. Mais le principe de précaution est toujours bon à appliquer...

    PS : ceux qui veulent savoir de qui il s'agit peuvent me laisser un commentaire...