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  • Syndicats, priez pour nous !

    syndicats.jpgComme dans toute entreprise industrielle, nous avons des syndicats  qui, il faut bien le dire, n’ont jamais cassé les pieds à la DSI. Pour une fois que l’on se fait oublier, c’est très bien. Chez Moudelab & Flouze, nous avons trois organisations « représentatives des travailleurs », selon l’expression consacrée : le SOT (Syndicat des Ouvriers et Travailleurs), dirigée par Joseph Inebecker, notre responsable des services généraux : la FUC (Fédération Unitaire Confédérale), dont le leader charismatique est Henri Caumassiasse, du service logistique et le CON (Cadres Organisation Nationale), minoritaire, dirigée par Justin Kalkul, de la comptabilité. Si je vous parle de ces éminents représentants du paysage syndical c’est qu’ils se sont unis (pour une fois…) afin de me rendre visite. Tout avait commencé lorsque notre DRH, Françoise Plansoc, m’a appelé un week-end, chez moi. Un comportement inhabituel de sa part, elle tient beaucoup à la séparation entre la vie professionnelle et la vie privée. D’aucuns arguent que sa liaison secrète (pense-t-elle) avec le directeur de notre usine de Vatexibé-sur-Seine y est pour quelque chose.

    - Il en est où, le déploiement de l’ERP ? me demande-t-elle.

    Une question bien saugrenue de la part d’une DRH ! (...)

    (Lire la suite dans le n° 52 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)

  • Ca rigole dans le Who's Who

    who-s-who-2009.jpgNe cherchez pas, je ne suis pas dans le Who's Who, le célèbre dictionnaire biographique de « celles et ceux qui, en France, ont réussi professionnellement, quel que soit leur secteur d'activité ». Mais mon patron y figure et il en est très fier. Passons sur le fait qu'il a un peu enjolivé son parcours professionnel et scolaire. Pour la dernière édition, les heureux élus ont été interrogés par Opinion Way sur les critères de la réussite.

    « De par leur travail et leurs réalisations, ces personnalités ont des expériences à partager, à transmettre, et sont donc légitimes pour prendre la parole sur le thème de la réussite. » Sans doute, surtout pour ceux qui affichent une Rolex à leur poignet. Résultat de cette enquête :

    « Le fait de persévérer, de s'obstiner dans une certaine direction est un marqueur d'appartenance à l'élite. Il faut un volontarisme puissant, une volonté, une absence de peur qui expliquent la réussite. » C'est un premier critère qui fait que les DSI font partie de l'élite. Si on remplace le mot « élite » par « DSI » ca fonctionne très bien.

    Poursuivons la lecture de cette intéressante étude : « De même, pour 73 % des sondés, la compétition est un élément indispensable de la réussite : pour réussir, il faut travailler, et se battre : il est des évidences qui méritent d'être rappelées, surtout par des personnes qui savent de quoi elles parlent ! » C'est nous aussi !

    Allons encore plus avant : « Pour réussir, les personnalités du Who's Who  ont su prendre des risques (55 %), créer (63 %), avoir de l'intuition (57 %), et toucher à tout (56 %). Réussir, c'est rester en éveil ! Ainsi, si les « bonnes rencontres », sont considérées comme un facteur important de succès par 95 % des sondés, ils prennent soin d'ajouter, à 56 %, que les bonnes rencontres, tout le monde en fait, et qu'il faut savoir les provoquer ! » A part les mauvaises rencontres avec certains commerciaux collants, limite casse-pieds pour rester poli, les DSi sont parfaitement alignés avec ce que pense « l'élite »

    Dernier point et non des moindres et sur lequel vous me permettrez de ne pas être tout à fait d'accord : « L'humour est considéré par 85 % des sondés comme une qualité importante pour réussir : l'humour comme une faculté à se détacher de l'événement, de l'immédiateté, l'humour comme une prise de distance nécessaire, et une faculté à rebondir dans les difficultés d'une vie professionnelle. » Quand on voit le sens de l'humour de certains de nos dirigeants, je doute que ce que nous dit ce sondage soit la réalité. Mais puisque l'humour est considéré comme une condition de la réussite professionnelle, je vais donc continuer à écrire. Et, qui sait, peut être un jour, abonner mon PDG à ma newsletter... Histoire de vérifier si l'élite ne s'est pas trompée quelque part...