Innovation numérique : pourquoi tout le monde s'en fout !
IBM ne manque pas d’assurance
Je suis tombé par hasard sur un retour d’expérience d’un client d’IBM, en l’occurrence la compagnie d’assurance Maaf, où on nous explique que ce dernier est devenu « plus agile grâce à la gestion des règles métier », grâce à la mise en œuvre d’une » plateforme de gestion et d’exécution des règles métier pour prendre les bonnes décisions tarifaires plus rapidement. »
Résultat : la charge de travail a été réduite de moitié. » Tant mieux pour eux… Ils sont malins chez IBM : ils ont heureusement évité de communiquer sur le retour d'expérience de la Maif, autre assureur bien connu avec juste une lettre de différence, qui a condamné IBM à verser 6,67 millions d’euros... Peut-être même que les honoraires facturés à la Maaf ont servi à payer les dommages et intérêts à la Maif. On l'i-Niort...
Croque mort de cycle de vie applicatif. Le cycle de vie applicatif n'est pas éternel. Une fois que l'on a mené à bien toutes les tâches (gestion des exigences, modélisation, développement, tests, gestion de configuration, du changement, du portefeuille de projets, de l'assurance qualité et de la performance des applications), le cycle de vie est terminé et il convient de l'enterrer. Mission accomplie. Mais est-on sûr de n'avoir rien oublié ? Autrement dit, le cycle de vie ne recèle-t-il pas des fonctions qui bougent encore et qu'il conviendrait de réveiller ? Le croque-mort de cycle de vie applicatif s'assure que celui-ci est bien achevé et que l'on peut passer au suivant.