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  • Carré magique ou triangle des Bermudes ?

    L’un de mes fournisseurs favoris est venu me rendre visite, non pas pour me vendre une nouvelle version de son produit, soutirer ma signature au bas d’un avenant contractuel ou m’amadouer avec un cadeau avant d’augmenter le tarif de la maintenance (ma collection de tapis de souris dépasse les deux mètres et j’ai au moins trois kilos de clés USB dans mon tiroir). Il vient au contraire pour m’annoncer une bonne nouvelle : « Nous sommes en haut à droite du carré magique de ForresGartData. »
    Bigre !
    - Et vous avez payé combien pour ça ?
    Ma question n’a pas eu l’air de lui plaire. Sacrilège ! Oser insinuer qu’une relation commerciale entre un éditeur de logiciels et un cabinet d’études, qui serait banale, puisse influencer un classement qui fait autorité sur le marché !

    (Lire la suite dans le numéro 19 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)

  • Contes et mécomptes

    Ouf, amis DSI, nous ne sommes plus seuls ! Les directeurs marketing sont dans la même galère que nous dès lors qu’il s’agit de démontrer à nos chères directions générales le ROI de nos actions respectives. Le numéro de janvier 2009 du mensuel Capital nous apprend en effet que « 75 % des directeurs marketing sont incapables de justifier leur action et avouent ne pas savoir si les opérations qu’ils mènent sont rentables », si l’on en croit une étude menée par un cabinet d’études, Coleman Parkes. Incapables de justifier ce qu’ils font et on les garde quand même dans l’entreprise ? J’imagine le dilemme d’un dirigeant d’entreprise qui a embauché une équipe de quatre directeurs marketing, qui sait que trois d’entre eux lui sont inutiles mais ne sait pas lequel est le bon…

    (Lire la suite dans le numéro 19 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)

  • Récup’

    Je me rends rarement dans les conférences organisées par les fournisseurs, les cabinets d’études ou la presse professionnelle, du moins ce qu’il en reste. Une ou deux fois par mois, c’est suffisant. S’il me fallait répondre à toutes les invitations que je reçois, je passerais plus de temps au dehors que dans mon bureau ! Même le plus petit des éditeurs de logiciels se doit de créer son « événementiel » autour de ses produits dont, il faut bien le dire, la plupart nous laissent complètement indifférents. Et, c’est sûr, mes chers collègues ne manqueraient pas de me reprocher de passer le plus gros de mon temps hors de l'entreprise, avec des arguments du style : « Au lieu de fanfaronner dans les cocktails ou de t’assoupir devant des slides marketing avec plein de morceaux de langue de bois dedans, tu ferais mieux de t’occuper de la qualité de service de l’informatique. » Ce n’est pas faux. D’autant que les sujets que l’on nous propose ne sont pas toujours passionnants…

    (Lire la suite dans le numéro 18 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)