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  • Un p'tit COLA pour la route !

    contrat.jpgQuand nous recevons des factures de la part de nos chers fournisseurs, on peut adopter deux approches. La première : transmettre le document à la comptabilité pour paiement, sans regarder ce qu'il y a dedans, du moins tant que le montant reste globalement cohérent avec nos budgets. On reçoit tellement de paperasses et de factures en tous genres que c'est une approche de facilité qui convient bien aux DSI qui n'ont pas trop envie de s'incruster dans des limbes bureaucratiques. Deuxième approche : éplucher chaque ligne des factures pour traquer les inévitables erreurs que nos fournisseurs commettent, de façon volontaire ou non. Mais cela nécessite du temps, des ressources, et une connaissance très fine des dispositions contractuelles signées avec les fournisseurs. Jusqu'à présent, vous vous en doutez, j'ai toujours privilégié la première approche. On ne se refait pas, tant qu'on peut déléguer, sans que cela mette la DSI en péril. Avant de rencontrer l'ingénieur d'affaires de notre prestataire d'infogérance et de tierce  maintenance applicative, j'ai quand même jeté un coup d'oeil sur ses dernières factures, que l'on doit régler chaque trimestre (...).

    (Lire la suite dans le numéro 45 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)

  • Les métiers improbables de la DSI

    Corruption.JPGChef de la brigade anti-corruption de mémoire - Ce chef d'équipe a un rôle essentiel dans la bonne marche du système d'information. Il est intraitable sur tout ce qui peut altérer le fonctionnement des serveurs. Il travaille en étroite liaison avec les équipes de développement et d'exploitation. Il va de soi que le chef de la brigade anti-corruption de mémoire est l'un des mieux payé parmi les collaborateurs de la DSI, pour éviter qu'il ne devienne ripou à la solde de développeurs peu scrupuleux. L'intégrité du Chef de la brigade anti-corruption de mémoire va très loin : il doit être capable de refuser même les enveloppes budgétaires.