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  • YaaS we can (suite)

    sehiaudconaas.jpgDans la série des prestations en "aaS", je vous propose aujourd'hui :

    CONaaS : CONsolidation as a Service. Pour ceux qui ne veulent pas s'occuper de la mutualisation de leurs serveurs. Pas bête...

     

  • Les métiers improbables

    sehiaudwhitepaper.jpgColorieur de livre blanc. Les fournisseurs nous abreuvent de livres blancs. Sur tout et n'importe quoi. Mais pourquoi n'ont-ils jamais eu l'idée d'introduire un peu de créativité dans le choix des couleurs ? On aimerait, par exemple, avoir un livre bleu ciel sur le Cloud Computing, un livre noir sur la sécurité, un livre jaune pâle sur des concepts fumeux, ou un livre violet sur la virtualisation. Et pourquoi pas un livre arc-en-ciel sur le pilotage de la DSI (parce qu'on en voit de toutes les couleurs, bien sûr...) ? Le colorieur de livre blanc a pour mission de personnaliser tous ces contenus, en restant toutefois dans des limites raisonnables : les coloriages multicolores dignes d'une classe de maternelle n'ont pas droit de cité.

     

  • Rien n'est jamais à qui

    sehiaud-aqui.jpgTous les ans, nous faisons le ménage dans notre portefeuille applicatif, histoire d'éliminer ce qui n'est plus utilisé, ou si peu que les charges de maintenance au kilo de code sont très largement supérieures au prix du kilo de caviar extra-fin dégusté avec une cuillère en or dans un plateau en argent lesté de diamants sur les poignées. Et, comme chaque année, nous élaborons un tableau à deux colonnes : d'un côté, la liste de toutes les applications actives du système d'information, y compris les plus petites, et, de l'autre, la liste des propriétaires de chacune des applications. Depuis que nous refacturons les services de la DSI, tous les clients internes doivent être dûment répertoriés afin d'être ponctionnés (avec modération quand même) d'une partie de leur budget pour nourrir la DSI. En principe, aucune case ne doit rester vide (bon, d'accord, sauf pour les quelques collaborateurs qui en avaient déjà une, de case vide, avant d'être embauché...). Tous les ans, on retrouve des applications ou des développements qui n'appartiennent à personne. Mais cette année, c'est encore pire ! Notre système d'information est truffé de petites applications dont plus personne ne se souvient, ou fait semblant de ne pas se souvenir, pour qui elles ont été développées. C'est un peu de ma faute, j'ai probablement été négligent en n'obligeant pas tous mes développeurs à tracer l'ensemble les modifications et des demandes de changements. Mais tout de même !(...)

    (Lire la suite dans le numéro 49 de la revue Best Practices Systèmes d'Information).