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OLIVIER SEHIAUD - Ma vie de DSI... - Page 12

  • ISO, Cobit, Itil, CMMi, SOX, XBRL… What else ?

    sehiaud-clooney.jpgCela fait au moins la dixième fois que je lis que les DSI sont les managers les plus importants dans une entreprise. Je suis assez d’accord mais tout le monde ne partage pas cet avis. Les DRH ne manquent jamais de clamer que sans gestion des ressources humaines une entreprise ne peut pas tourner. Les DAF affirment que ce sont eux qui sont les plus importants puisqu’ils tiennent les cordons de la bourse. Même notre standardiste ou le responsable des services généraux peuvent aussi revendiquer le titre de métier le plus stratégique d’une entreprise, et ce n’est probablement pas complètement faux.

    – Vous autres, les DSI, vous vivez dans un monde beaucoup plus stable que le nôtre, m’assurait Georges, l’un de mes amis qui exerce le métier de directeur financier dans une grande entreprise de services venu me rendre une visite. Un métier dont il est persuadé qu’il est le plus exposé de tous dans les organisations, tant les nouvelles réglementations fiscales, comptables et de mise en conformité sont contraignantes.

    – Certes, mais à côté de ce que nous vivons, le métier de DAF paraît franchement plus facile ! lui répondis-je.

    – Olivier, donne-moi une seule raison pour laquelle le métier de DSI serait aussi stressant et compliqué que celui de DAF ! rétorqua mon ami fendu d’un sourire qui laissait bien transparaître une impression de victoire.

    – Je ne vais pas t’en donner une....

    – Ah ! Tu vois, tu es déjà à court d’arguments pertinents !, lança-t-il l’air assuré du triomphateur.

    – ... mais au moins dix !

    Je commence à lui expliquer que je n’ai aucune visibilité dans les technologies à venir. Du mainframe au Web 2.0, chaque vague technologique a été très perturbante et leurs effets se cumulent. Pire, les périmètres que je dois couvrir se métamorphosent à vue d’œil ! Fusions-acquisitions, implantations dans de nouveaux pays, nouveaux produits... Tout cela impose une reconfiguration permanente des SI.

    – Quant à nos équipes, elles ont la bougeotte, ajoutai-je. Il est déjà difficile de recruter les meilleurs ingénieurs, mais la pénurie de ressources actuelle complique bien la vie. Les sociétés de services et nos concurrents ne se privent pas de puiser dans notre vivier de talents !

    – Dans la finance, c’est pareil. Cela fait six mois que je cherche un spécialiste de la norme XBRL !

    – Sans oublier que nous devons en permanence adapter nos systèmes d’information au gré des changements de stratégie des directions générales, poursuivis-je. Et nos utilisateurs ! Ceux des nouvelles générations, nés avec les PC, le mobile, les réseaux sociaux, les consoles de jeu et Internet nous challengent en permanence pour que les systèmes d’information soient « plus funs, plus compétitifs » et s’adaptent à eux. Je préférerais l’inverse !

    – Moi aussi. Je te rappelle que ce sont les DAF qui, in fine, règlent les factures, précisa mon ami Georges, un brin vexé.

    – Quant à nos fournisseurs, ils se concentrent à la vitesse de la lumière ! Comment prévoir qui va racheter qui dans six mois ou un an ? Sans oublier mes projets, tous stratégiques, bien sûr ! Ceux arrivés à leur terme seront immanquablement bouleversés par un changement dans la stratégie produit ou commerciale. Ou les directions métier auront « oublié » de demander telle ou telle fonctionnalité. Bien sûr indispensable...

    - Nous, les DAF, devons maîtriser quantité de concepts qui se cachent sous des sigles : MSI 20000, IFRS, IAS, XBRL…

    – Même pas peur ! Nous on doit en digérer des quantités bien plus importantes : ISO, Cobit, CMMI, Itil, Togaf, Cisq, OGC, OPM... Á chaque année sa nouvelle méthodologie que l’on doit appliquer sous peine de passer pour ringard ! Et l’on doit être « compliant » dans toutes les couches du système d’information.

    – Ah ? Toi aussi tu dois être « compliant » ? Je ne l’imaginais pas à ce point. Bienvenue au club, me lança Georges, découvrant avec émotion qu’il n’est pas le seul à supporter le lourd fardeau que nos législateurs nous imposent.

    Nous sommes finalement tombés d’accord : toute la difficulté de nos métiers respectifs ne vient-elle pas des juristes et autres « standardisateurs » qui nous obligent à respecter des tas de principes pas toujours très pertinents ?

    – Si un jour je croise les duettistes Sarbanes & Oxley, je ne suis pas certain de me retenir de leur envoyer un bon coup de boule dans le reporting ! m’annonce mon collègue DAF.

    - Mets en un de plus, avec mes compliments, lui suggérai-je.

    Notre discussion s’est arrêtée au moment où le directeur juridique pointait son nez dans le couloir.

    - Alors, quoi de neuf ? lui ai-je demandé.

    - Pfff… j’ai du boulot à n’en plus finir, nous avons un métier tellement difficile : heureusement que nous sommes reconnus, nous les juristes, comme des managers stratégiques pour l’entreprise !

    Il n’a pas compris ce qui a déclenché notre éclat de rire…

     

  • Les métiers improbables de la DSI

    sehiaud-excel.jpgGardien de cellules Excel. Ce qui entre dans une cellule Excel doit y rester : les directeurs financiers et les contrôleurs de gestion ne démentiront pas ce principe, eux qui ont enfermé des milliers de chiffres dans des cellules hébergées dans un centre de rétention que l'on appelle Excel. Et lorsque l'on veut remplacer le tableur par un logiciel plus moderne, il faut conserver les données, à moins que l'on ait une totale confiance dans les ERP et autres logiciels financiers dont on a toujours pas retrouvé les boites noires. Le gardien de cellules est là pour veiller à ce que les informations soient conservées puissent être ré-utilisées sans problème et non pas mises au rebut par un développeur adepte de la peine de mort informationnelle. C'est une garantie essentielle de sécurité pour le DSI, qui ne veut jamais voir débarquer dans son bureau un DAF furieux de ne plus avoir accès à ses données.

  • Les métiers improbables de la DSI

    sehiaud-vasodi.jpgVasodilatateur de bande passante. Depuis que tout le monde se met à envoyer des fichiers audio et vidéo, les réseaux s'engorgent. Les opérateurs de télécommunications nous le serinent régulièrement. Dans l'entreprise, on retrouve cet engorgement de la bande passante, d'autant que tous les managers ont pris pour habitude de tous s'envoyer en copie des quantités de fichiers PowerPoint bardés d'images, de schémas qui clignotent et de vidéos dont on pense qu'elle renforcent la qualité du message. Heureusement, le vasodilatateur de bande passante permet de résoudre le problème. Rappelons qu'en médecine, un vasodilatateur est une substance qui permet de dilater les vaisseaux sanguins en relâchant les muscles lisses des parois. Ce qui aboutit à une diminution de la pression artérielle. Et relâcher la pression, nous en avons bien besoin ! Notre vasodilatateur, poste ô combien stratégique dans une DSI, est là pour empêcher que ne circulent trop de fichiers de plusieurs mégas qui ne servent à rien. Sur quels critères ? L'arbitraire, bien sûr car il est rémunéré sur les économies que nous réalisons auprès de notre opérateur de télécoms. Ca les motive...

  • Le bal des casse-pieds

    ratings-couvHD.jpg« This is the end… » On connaît la chanson culte du film non moins culte Apocalypse Now. On a l’impression que ce refrain résonne dans la tête de tous les commerciaux des éditeurs de logiciels et des intégrateurs. Lorsque la fin du mois arrive, on soupçonne que l’apocalypse n’est pas loin si les commerciaux n’ont pas fait leurs chiffres trimestriels…

    De quoi faire râler les actionnaires et autres fonds de pension dont l’indice de satisfaction est indexé sur le nombre de licences et d’avenants signés au cours des trois derniers mois ! Conséquence de ce regain de fébrilité parmi ces vendeurs : ils décrochent leur téléphone et appellent tous les DSI de leur carnet d’adresse pour vérifier si, au cas où, nous n’aurions une petite mission à leur confier ou quelques postes de travail en plus à équiper avec leurs produits. Si le DSI n’est pas disponible ou injoignable, la nuée de coups de fil s’abat sur tous les collaborateurs de la DSI qui ont autre chose à faire que d’écouter leurs discours formatés. Et nos chers fournisseurs sont très doués pour trouver les numéros directs ou les structures de nos e-mails.

    Donc, à chaque fin de trimestre, à partir du 15, nous nous préparons à recevoir les envahisseurs. Soyons clairs : il ne s’agit pas de bouter hors des murs de la DSI tous les fournisseurs qui nous appellent, nous avons besoin d’eux pour nous suggérer des idées sur ce que l’on peut faire avec leurs solutions, ou ce que leur expertise peut nous apporter. Non, il s’agit plutôt de ceux qui, comme dans n’importe quel métier (que l’on songe aux agents immobiliers, aux vendeurs de voitures, d’assurance-vie…) qui en font trop, en espérant nous faire craquer pour « leur solution leader et révolutionnaire. » Tout comme les japonais sont préparés à des tremblements de Terre, savent comment agir, les DSI devrait être prêts à gérer les casse-pieds. Nous avons donc établi une liste de ces casse-pieds que nous finissons par identifier.

    Certes, la première fois, il faut un volontaire pour essuyer les plâtres, si l’on ne méfie pas face à une nouvelle tête envoyée au front par son employeur pour nous vendre la panoplie complète du DSI (des licences à n’en plus savoir qu’en faire, des contrats de maintenance surdimensionnés, des consultants en léger surnombre…).  Tous les noms, associés à leur numéro de téléphone, sont ainsi programmés sur nos propres postes : dès que l’un appelle, le terme « casse-pied » (certains préfèrent d’autres termes moins diplomatiques…) clignote sur le mini-écran du téléphone et l’importun bascule sur le répondeur qui, lui, a le temps d’écouter. J’aurai voulu développer des applications plus complexes mais plus rigolotes : par exemple, leur demander de laisser leur message avec un numéro surtaxé et nous aurions partagé les bénéfices en fin d’année.

    Mais la direction financière nous l’a interdit. « Pas de caisse noire dans le Groupe », nous a-t-on expliqué. Autre exemple, décliner le principe du dîner de con, mais, hélas, nous n’avons guère le temps. Le principe serait de repérer, parmi les commerciaux que l’on nous envoie, un excellent spécimen avec, si possible, une haute idée de lui-même, une forte propension à parler une langue de bois que même des bûcherons chevronnés ne parviendrait pas à scier sans du matériel lourd, et une méconnaissance chronique des offres qu’il est censé vendre. Et de l’inviter à une réunion pour nous présenter ses solutions.

    Quelques collègues DSI (qui disposent d’un peu plus de temps que nous) pratiquent ce genre d’exercice : en général, les victimes repartent assez dépitées et ne reviennent pas sans un bon motif. Nous disposons, depuis quelques semaines, d’un nouvel outil : les Ratings Best Practices, gros document qui évalue les fournisseurs. L’un des critères concerne le « niveau de pression commerciale. » C’est joliment dit, mais, en réalité, il s’agit d’un bon indicateur de « la propension d’un fournisseurs à casser les pieds à ses clients ». Nous avons donc la liste : tous ceux qui ne sont pas notés AAA sont suspects de vouloir venir nous casser les pieds. Vous voulez la liste des moins disciplinés ? Allez je vous la livre : Ac…, Ad…, Ag…, Al… Non, en réalité, je vais garder l’info pour nous et pour ceux qui ont eu la bonne idée de se procurer les notes détaillées. Mais, promis, la prochaine fois, je balance les noms !

     

     

  • Les métiers improbables...

    sehiaud-ascenseur.jpgGarçon d’ascenseur de bottom-up. Avec la mode qui veut que la stratégie d’une entreprise doit reposer sur la réalité du terrain, le bottom-up est devenu un principe de management popularisé auprès des directions générales. Encore faut-il assurer la transmission de l’information de bas en haut. Le garçon d’ascenseur de bottom-up fluidifie le transport de l’information vers le dernier étage. En évitant de rester coincé entre deux étages…

  • Roulez bolides !

    sehiaud-bulle.jpgOn ne devrait jamais lire la presse économique. C’est déprimant. Comme je n’avais rien à faire (!) entre deux réunions de pilotage avec mes équipes et quelques nouveaux prestataires à coacher, je me suis plongé dans l'un des derniers numéros du mensuel Capital et dans le magazine non-moins mensuel L’Expansion. Dans le premier, un article nous prévient : « Au secours, la bulle Internet revient ! ». Et de nous décrire une situation complètement extravagante. Je vous avais déjà entretenu, dans une précédente chronique, de ce décalage entre le monde des start-up et celui des systèmes d’information, en soulignant le fait que nous, DSI, ne pourrions jamais utiliser les mêmes techniques que ces jeunes pousses pour ramener des millions d’euros de financement : en gros, un simple petit Powerpoint pour mettre la main sur un gros pactole.

    Ne rigolez pas, ca existe. Un investisseur raconte, dans le numéro de Capital : « Lors d’une réunion récente, j’ai vu tous les investisseurs se précipiter vers des projets de sites de location entre particuliers qui ne tenaient que sur un Powerpoint, sous prétexte que l’un d’eux a plutôt réussi ». Dans L’Expansion, un article, qui affirme que « les dollars sont de retour dans la Silicon Valley », donne la parole à un créateur de start-up qui, lui, a juste résumé son projet (un service communautaire d’e-learning) sur un site d’investisseurs : « Le lendemain, j’étais submergé d’appels, j’ai dû refuser des rendez-vous », explique-t-il. Tout cela serait sans importance, et même risible de voir tant d’insouciance dans les business modèles, tant de crédulité chez les investisseurs dans les capacités de certains créateurs de start-up (pas tous, heureusement) à développer des entreprises pérennes qui créent de la valeur pour leurs clients.

    Le problème est que cette situation, qui nous ramène dix ans en arrière, va avoir, à terme, des conséquences concrètes pour les DSI. En tout cas, je me pose des questions existentielles. On peut en identifier quatre (...).

    (Lire la suite dans le n° 66 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)

  • Y’en a qui n’ont rien d’autre à faire

    sehiaud-merck2.JPGC’est l’histoire d’un fournisseur de solutions de téléprésence qui s’appelle Polycom, l’un des leaders mondiaux. A priori rien de bien révolutionnaire si ce n’est que la téléprésence qu’il commercialise est qualifiée d’immersive. D’après ce qu’on m’a dit, cela consiste à faire comme si on était dans une pièce alors qu’on y est pas. C’est vrai que, des fois, on aimerait bien se trouver dans une autre pièce mais, surtout, sans que ceux qui y sont déjà le sachent ! Je vous parle de cela parce que la société en question a envoyé aux médias un communiqué de presse signalant qu’un grand laboratoire pharmaceutique (Merck) s’est équipé des solutions de Polycom. Tant mieux pour eux.

    Mais la personne qui a envoyé ce communiqué, sans doute pressée de porter la bonne parole sur ce contrat qu’on pressent juteux, a oublié d’enlever l’en-tête. Et c’est là que l’on voit que, dans certaines entreprises, les managers passent leur temps à effectuer des tâches qu’ils pourraient tout à fait déléguer. Surtout la relecture d’un texte de tout juste 3 000 signes… Qu’on en juge : pas moins de quatorze personnes se sont attelées à la relecture/validation/correction/suggestion/rerelecture de ce chef d’œuvre informatif, avant diffusion : les gens de la comm, bien sûr, le marketing, le CDO (C’est le Chief Data Officer, pour ceux qui l’ignorent), le CFO (le type qui gère les sous), le CMO (celui qui concocte le marketing), le CEO (le Big boss), sans oublier l’inévitable juriste, des fois qu’une virgule soit mal placée, et le client. Tous ont mis leur tampon « Reviewed and approved » sur le texte.

    Il faut en effet pas moins de quatorze personnes pour trouver un sous-titre de haute tenue : « L’entreprise donne ainsi un nouvel élan à sa productivité ». Je suppose qu’on ne parle pas de l’animal qui peuple les forêts finlandaises puisqu’il s’agit d’un labo pharmaceutique et pas d’un zoo… Chacun des « Reviewer » avait reçu pour consigne de « approuver et reviewer » et, ensuite de passer à son voisin. Ce qui donne, en anglais dans le texte : « As each stakeholder approves, PR to mark the release as “reviewed” by the stakeholder, include date, then forward to next reviewer in the chain. Au fait, chez Polycom, ils n’auraient pas pu organiser une petite réunion en téléprésence ? En un quart d’heure, l’affaire était bouclée ! Mais ils ne sont peut-être pas équipés de solutions immersives…

  • Professeur Salim, pour vous servir !

    sehiaud-salim.JPGVous connaissez le professeur Salim ? Moi non plus mais je dois avouer que c’est grâce à lui, mais il ne le sait pas, que j’ai redoré mon image de DSI au sein du groupe Moudelab & Flouze Industries. Ce professeur Salim, dont je soupçonne qu’il s’est arrogé indûment le titre prestigieux de professeur, a tout compris en communication. Voilà des mois que je bataille pour trouver des idées afin de valoriser le travail de mes équipes et de mes prestataires. J’ai tout essayé : les newsletters, mais personne ne les lit ; les e-mailings vers les utilisateurs, mais ils finissent dans la corbeille à spam; dix lignes dans le rapport annuel institutionnel après force négociation avec la dir’comm, mais les analystes financiers n’en ont rien à faire du capital immatériel, ils préfèrent pinailler sur les règles d’amortissement des chariots élévateurs dans nos usines ; le trombinoscope, pour humaniser le système d’information, mais j’en ai retrouvé plusieurs exemplaires placardés sur la porte de mon bureau avec des dessins que je ne peux décemment pas publier sous peine d’atteinte aux bonnes mœurs. 

    La communication de la DSI serait-elle une mission impossible ? J’en étais presque persuadé lorsque la providence m’a fait rencontrer le professeur Salim. Pas en tête-à-tête bien sûr mais par l’intermédiaire d’un simple bout de papier quelques centimètres carrés distribué dans ma boîte aux lettres. Que nous promet ce bon professeur Salim ? Avec un « paiement après résultat », il est « capable de résoudre tous vos problèmes », avec un travail « rapide et sérieux », et promet une réussite « là où les autres ont échoué ». Avec, également, un slogan qui fait mouche : « Venez voir Salim pour votre bien-être ». Je me suis donc largement inspiré de ce moyen de communication pour atteindre mon objectif de valorisation des activités de la DSI et je vais vous expliquer comment j'ai procédé (...).

    (Lire la suite dans le n° 65 de la revue Best Practices Systèmes d'Information)